Sur
le graphique ci-dessus, à gauche, figurent nos résultats
sur toute la durée du voyage. Comme il est impossible de
lire correctement les données à cette échelle,
nous allons aussi étudier sur un zoom une partie des données.
Globalement, on voit que la luminosité augmente au fur et
à mesure de la montée du ballon jusqu’à
4000 s puis diminue légèrement (on ne sait pas pourquoi…)
avant de remonter violemment à t = 6700 s. On peut déterminer
l’éclatement du ballon à une altitude de l’ordre
de 38 km si on suppose la vitesse de montée de l’ordre
de 6,0 m/s. Lors de la descente notre nacelle Metre Yoda s’est
peut être mise à tourner sur un axe tête / pied
? Le
parachute ne s'est semblablement pas encore ouvert lorsque nous
avons perdu le contact avec Metre Yoda.
Rem : notre étalonnage jusqu’à 750000 Lux était
inutile puisque la valeur maximale enregistrée (par un jour
de très beau temps sans nuage) est de l’ordre de 150000
Lux!
Sur
le zoom, cette séquence partant du début du vol de
Yoda et après 70 secondes de vol, on peut voir la luminosité
varier entre 11000 et 87000 Lux. Comme le capteur était sur
un coté de la nacelle, il n’était pas toute
la durée de la séquence dirigé de la même
inclinaison par rapport au soleil. Il tournait, c’est pour
cela que nous avons enregistré différentes valeurs.